La mort et la maladie, des accidents inévitables
« Nulle chose ne peut être détruite sinon par une cause extérieure »
(Spinoza, Éthique, 3° partie, Proposition IV)
« Chaque chose, autant qu’il est en elle, s’efforce de persévérer dans son être. »
(id., Proposition VI)
La vie possède, en elle-même, ce caractère paradoxal de parvenir un jour à son terme, cela nous semble naturel mais à bien y réfléchir cela n’a rien d’évident, par nature la vie tend à se maintenir et l’être vivant devrait tout faire pour perdurer indéfiniment.